Candide est un jeune garçon vivant au château du baron de
Thunder-ten-tronckh. Il a pour maître Pangloss, philosophe qui enseigne
la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », et qui professait, à
l'instar de Leibniz,
que l'on vit dans le meilleur des mondes possibles. Cependant Candide
est chassé de ce meilleur des mondes possibles à la suite d'une « Leçon
de physique expérimentale » entreprise avec Cunégonde, la fille du
Baron. Candide découvre alors le monde et passe de déconvenues en
déconvenues.
Enrôlé de force dans les troupes bulgares, il assiste à la boucherie de la guerre. Il s'enfuit, est recueilli par Jacques l'anabaptiste. Il retrouve Pangloss réduit à l'état de vieillard, atteint de la vérole qui lui apprend la mort de Cunégonde, violée par des soldats bulgares. Ils embarquent avec Jacques pour Lisbonne. Après une tempête dans laquelle meurt noyé Jacques, ils arrivent à Lisbonne le jour du tremblement de terre et sont victimes d'un autodafé durant lequel Pangloss est pendu. Candide retrouve Cunégonde, maitresse d'un grand inquisiteur
et d'un riche juif : don Issachar. Il est amené à tuer les deux hommes
et s'enfuit avec Cunégonde et sa vieille servante vers Cadix en Espagne.
Il embarque avec son valet Cacambo, Cunégonde et sa vieille servante pour le Paraguay. Contraint d'abandonner Cunégonde à Buenos-Aires,
il s'enfuit avec Cacambo au Paraguay. Ils y retrouvent le frère de
Cunégonde que Candide transperce d'un coup d'épée, s'échappent, évitent
de peu d'être mangés par les sauvages Oreillons et découvrent le pays d'Eldorado. Ils y sont heureux mais préfèrent le quitter avec toutes leurs richesses pour retrouver Cunégonde.
Envoyant Cacambo racheter Cunégonde, Candide se fait voler par un
marchand et un juge, fait la connaissance de Martin, dégoûté de la vie
et rejoint l'Europe avec lui. Ils passent par Paris où Candide manque
mourir des soins prodigués par la médecine, se fait voler par un abbé et
échappe de peu à la prison, puis rejoignent Venise où ils y cherchent
en vain Cacambo et Cunégonde. Ils y rencontrent Paquette, la servante du
Baron de Thunder-ten-tronckh, et son amant le moine Giroflée,
découvrent un riche désabusé et font la connaissance de six rois
détrônés.
Ils partent ensuite pour Constantinople
délivrer Cunégonde, devenue laide, esclave du roi déchu Ragotski et
racheter le valet Cacambo. Sur la galère, parmi les forçats, ils
retrouvent Pangloss, ayant échappé à la pendaison, et le frère de
Cunégonde, ayant échappé au coup d'épée, que Candide délivre contre
rançon. À Constantinople, il rachète Cunégonde enlaidie et acariâtre,
l'épouse contre l'avis de son frère qu'il est contraint de chasser,
s'installe dans une métairie, se fait voler par des marchands, recueille
Paquette et Giroflée et finit en cultivant son jardin sans plus se
préoccuper du monde.
Le refrain résolument optimiste de Pangloss sur « le meilleur des mondes possibles », ainsi que le mot de la fin de Candide :
Thunder-ten-tronckh. Il a pour maître Pangloss, philosophe qui enseigne
la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », et qui professait, à
l'instar de Leibniz,
que l'on vit dans le meilleur des mondes possibles. Cependant Candide
est chassé de ce meilleur des mondes possibles à la suite d'une « Leçon
de physique expérimentale » entreprise avec Cunégonde, la fille du
Baron. Candide découvre alors le monde et passe de déconvenues en
déconvenues.
Enrôlé de force dans les troupes bulgares, il assiste à la boucherie de la guerre. Il s'enfuit, est recueilli par Jacques l'anabaptiste. Il retrouve Pangloss réduit à l'état de vieillard, atteint de la vérole qui lui apprend la mort de Cunégonde, violée par des soldats bulgares. Ils embarquent avec Jacques pour Lisbonne. Après une tempête dans laquelle meurt noyé Jacques, ils arrivent à Lisbonne le jour du tremblement de terre et sont victimes d'un autodafé durant lequel Pangloss est pendu. Candide retrouve Cunégonde, maitresse d'un grand inquisiteur
et d'un riche juif : don Issachar. Il est amené à tuer les deux hommes
et s'enfuit avec Cunégonde et sa vieille servante vers Cadix en Espagne.
Il embarque avec son valet Cacambo, Cunégonde et sa vieille servante pour le Paraguay. Contraint d'abandonner Cunégonde à Buenos-Aires,
il s'enfuit avec Cacambo au Paraguay. Ils y retrouvent le frère de
Cunégonde que Candide transperce d'un coup d'épée, s'échappent, évitent
de peu d'être mangés par les sauvages Oreillons et découvrent le pays d'Eldorado. Ils y sont heureux mais préfèrent le quitter avec toutes leurs richesses pour retrouver Cunégonde.
Envoyant Cacambo racheter Cunégonde, Candide se fait voler par un
marchand et un juge, fait la connaissance de Martin, dégoûté de la vie
et rejoint l'Europe avec lui. Ils passent par Paris où Candide manque
mourir des soins prodigués par la médecine, se fait voler par un abbé et
échappe de peu à la prison, puis rejoignent Venise où ils y cherchent
en vain Cacambo et Cunégonde. Ils y rencontrent Paquette, la servante du
Baron de Thunder-ten-tronckh, et son amant le moine Giroflée,
découvrent un riche désabusé et font la connaissance de six rois
détrônés.
Ils partent ensuite pour Constantinople
délivrer Cunégonde, devenue laide, esclave du roi déchu Ragotski et
racheter le valet Cacambo. Sur la galère, parmi les forçats, ils
retrouvent Pangloss, ayant échappé à la pendaison, et le frère de
Cunégonde, ayant échappé au coup d'épée, que Candide délivre contre
rançon. À Constantinople, il rachète Cunégonde enlaidie et acariâtre,
l'épouse contre l'avis de son frère qu'il est contraint de chasser,
s'installe dans une métairie, se fait voler par des marchands, recueille
Paquette et Giroflée et finit en cultivant son jardin sans plus se
préoccuper du monde.
Le refrain résolument optimiste de Pangloss sur « le meilleur des mondes possibles », ainsi que le mot de la fin de Candide :
« Pangloss disait quelquefois à Candide : “Tous les événements sont
enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ; car enfin si vous
n’aviez pas été chassé d’un beau château à grands coups de pied dans le
derrière pour l’amour de mademoiselle Cunégonde, si vous n’aviez pas été
mis à l’Inquisition, si vous n’aviez pas couru l’Amérique à pied, si
vous n’aviez pas donné un bon coup d’épée au baron, si vous n’aviez pas
perdu tous vos moutons du bon pays d’Eldorado, vous ne mangeriez pas ici
des cédrats confits et des pistaches.
– Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.” »