Sujet1: Il vous est sûrement arrivé, un jour, d'avoir peur. Dîtes en quelles circonstances et
////////////////
La
peur est un sentiment humain, instinctif. A tout moment, l 'homme peut
éprouver ce sentiment. La peur devient parfois, une panique, étouffe
toute raison, aveugle, rend quelquefois l 'homme hors de lui>
C'est
justement ce qui n'est arrivé un jour. Je me rappelle de cela comme si
c'était hier. C'était pendant les grandes vacances. Mes amis et moi,
avons décidé de passer quelques jours en montagne. Il faut reconnaître
que l'idée n'était pas mauvaise mais seulement l'endroit était mal
choisi vu son caractère misanthrope. D'ailleurs, à notre âge, nous avons
mal estimé l'ampleur réelle d'une telle décision: passer quelques
temps
dans un espace sauvage, non gardé où tout est prévisible.En effet, nous
sommes parvenus à une clairière, où nous avons dressé notre petite
tente. Franchement, nous avons passé une agréable journée au sein d'une
nature à la fois accueillante et sauvage, loin du vacarme de la ville.
Le
soir arriva. La forêt tomba dans un silence qui nous sembla suspect.
Aussitôt, la fatigue commença à nous gagner, alors chacun prit une place
pour se livrer au sommeil. A peine eûmes-nous éteint la lame que nous
entendîmes un bruit bizarre, on aurait dit une forte chute>
Nous
demeurions silencieux, cois, immobiles. D'ailleurs, nous n'avions,
malheureusement, aucune alternative dans cet espace obscur et vaste.
Nous restions enveloppés dans notre minuscule tente qui ne nous
garantissait aucune protection contre un danger imminent. A vrai dire,
nous étions paniqués.
Quant à moi, j'ai repris courage et j'ai pris la décision de prendre une torche et
j'ai
osé sortir de la tente car il fallait agir. Cependant, l'obscurité
opaque des environs m'empêchait de m'aventurer loin de notre abri, et
que peut être l'ennemi n'était pas loin, en train de nous guetter, et il
pouvait, à tout moment, nous attaquer. Les battements de mon cœur
bourdonnaient dans ma gorge. Nous avions l'impression que des
silhouettes gesticulaient autour de notre tente. De temps à autre,
j'essayais de calmer, d'apaiser l'effroi de mes compagnons qui
déliraient d'épouvante, main en vain. Une fois à l'extérieur, une vague
appréhension m'envahit alors, j'avais jugé plus sage de regagner
promptement la tente et d'attendre. La nuit semblait interminable.
Heureusement, mes compagnons s'étaient calmés. Ce moment de répit nous
avait permis de réfléchir à notre situation critique et nous avions
réalisé que nous devions attendre le lever du jour. D'ailleurs, nous
n'avions pas le choix. Alors, nous restions plongés dans un silence plus
terrifiant encore
Une fois le jour commença à poindre, nous reprîmes
espoir. Ensemble, nous nous aventurâmes à dépasser le seuil de notre
tente quand notre regard fut attiré par un énorme oiseau allongé sur le
sol
L'envergure de ses ailes sanglantes nous parut incroyable. Un
oiseau mythique que nous n'avions jamais vu. Il était immobile, gisait
par terre. Il avait probablement été blessé quelque part et avait fini
par atterrir à quelques mètres de notre campement
Quand il nous avait vu, il s'efforçait vainement de bouger ses ailes car il redoutait notre brusque apparition. Sincèrement
La
médecine, depuis sa naissance, il y a des siècles, ne cesse de réaliser
des progrès de taille. L'être humain en est le bénéficiaire puisqu'il
était l'objet des recherches continuelles
La durée de vie a remarquablement évolué depuis l'antiquité
Personne ne peut nier que les découvertes, les inventions apportent des armes
nouvelles
dans le combat livré contre les maladies, les infections, les
épidemies.. .Bref, contre la douleur et la mort. Mais à quel
prix?/L'animal, depuis longtemps, a toujours été considéré comme cobaye,
constamment disponible pour servir la recherche médicale surtout quand
il s'agit d'expérimenter un médicament, sans pour autant, se soucier des
conséquences de ce genre de pr_tique sur un être vivant qui, tout comme
l'homme a le droit à la vie
D'abord, cela montre bien l'égoïsme que
manifeste 1 'homme à l'égard de l'animal. L'être humain ne veut en aucun
cas compromettre sa vie, ce croyant ainsi le roi de la création
Beaucoup
de gens sont heurtés par l'idée d'une expérimentation sur l'homme. On
peut même dire que quel que soit le soin que l'on apporte à la mise au
point d'un nouveau médicament et à son expérimentation sur l'animal, on
ne peut, toutefois, supprimer la marge d'incertitude quant aux effets
qu'il produira sur un organisme humain
Il est vrai que les recherches
médicales ont fait des miracles au profit de la race humaine. Or, rien
ne prouve que l'homme et l'animal réagissent de la même manière à
certaines substances. L'extrapolation de l'animal à l'homme est souvent
hasardeuse, même si elle se révèle justifiée dans certains cas
D'ailleurs,
les limites de l'expérimentation sur l'animal tiennent à ce qu'un
certain nombre de symptômes n'apparaissent jamais chez les animaux. D'où
une marge d'incertitude qui doit être prise en considération
En
outre, une expérimentation abusive sur certaines espèces animales
pourrait contribuer, malheureusement à leur extinction. Laquelle
extinction serait une aberration au moment où l'on fait appel, un peu
partout dans le moment à la protection des alllmaux
Espérant que
l'homme scientifique prenda conscience du préjudice qu'il pourrait
causer à la faune, sans écarter l'idée que l'expérimentation estun
processus indispensable, à l'évolution de la recherche médicale dont
l'objectif primordial est le bien être de l'espèce humaine
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La
peur est un sentiment humain, instinctif. A tout moment, l 'homme peut
éprouver ce sentiment. La peur devient parfois, une panique, étouffe
toute raison, aveugle, rend quelquefois l 'homme hors de lui>
C'est
justement ce qui n'est arrivé un jour. Je me rappelle de cela comme si
c'était hier. C'était pendant les grandes vacances. Mes amis et moi,
avons décidé de passer quelques jours en montagne. Il faut reconnaître
que l'idée n'était pas mauvaise mais seulement l'endroit était mal
choisi vu son caractère misanthrope. D'ailleurs, à notre âge, nous avons
mal estimé l'ampleur réelle d'une telle décision: passer quelques
temps
dans un espace sauvage, non gardé où tout est prévisible.En effet, nous
sommes parvenus à une clairière, où nous avons dressé notre petite
tente. Franchement, nous avons passé une agréable journée au sein d'une
nature à la fois accueillante et sauvage, loin du vacarme de la ville.
Le
soir arriva. La forêt tomba dans un silence qui nous sembla suspect.
Aussitôt, la fatigue commença à nous gagner, alors chacun prit une place
pour se livrer au sommeil. A peine eûmes-nous éteint la lame que nous
entendîmes un bruit bizarre, on aurait dit une forte chute>
Nous
demeurions silencieux, cois, immobiles. D'ailleurs, nous n'avions,
malheureusement, aucune alternative dans cet espace obscur et vaste.
Nous restions enveloppés dans notre minuscule tente qui ne nous
garantissait aucune protection contre un danger imminent. A vrai dire,
nous étions paniqués.
Quant à moi, j'ai repris courage et j'ai pris la décision de prendre une torche et
j'ai
osé sortir de la tente car il fallait agir. Cependant, l'obscurité
opaque des environs m'empêchait de m'aventurer loin de notre abri, et
que peut être l'ennemi n'était pas loin, en train de nous guetter, et il
pouvait, à tout moment, nous attaquer. Les battements de mon cœur
bourdonnaient dans ma gorge. Nous avions l'impression que des
silhouettes gesticulaient autour de notre tente. De temps à autre,
j'essayais de calmer, d'apaiser l'effroi de mes compagnons qui
déliraient d'épouvante, main en vain. Une fois à l'extérieur, une vague
appréhension m'envahit alors, j'avais jugé plus sage de regagner
promptement la tente et d'attendre. La nuit semblait interminable.
Heureusement, mes compagnons s'étaient calmés. Ce moment de répit nous
avait permis de réfléchir à notre situation critique et nous avions
réalisé que nous devions attendre le lever du jour. D'ailleurs, nous
n'avions pas le choix. Alors, nous restions plongés dans un silence plus
terrifiant encore
Une fois le jour commença à poindre, nous reprîmes
espoir. Ensemble, nous nous aventurâmes à dépasser le seuil de notre
tente quand notre regard fut attiré par un énorme oiseau allongé sur le
sol
L'envergure de ses ailes sanglantes nous parut incroyable. Un
oiseau mythique que nous n'avions jamais vu. Il était immobile, gisait
par terre. Il avait probablement été blessé quelque part et avait fini
par atterrir à quelques mètres de notre campement
Quand il nous avait vu, il s'efforçait vainement de bouger ses ailes car il redoutait notre brusque apparition. Sincèrement
La
médecine, depuis sa naissance, il y a des siècles, ne cesse de réaliser
des progrès de taille. L'être humain en est le bénéficiaire puisqu'il
était l'objet des recherches continuelles
La durée de vie a remarquablement évolué depuis l'antiquité
Personne ne peut nier que les découvertes, les inventions apportent des armes
nouvelles
dans le combat livré contre les maladies, les infections, les
épidemies.. .Bref, contre la douleur et la mort. Mais à quel
prix?/L'animal, depuis longtemps, a toujours été considéré comme cobaye,
constamment disponible pour servir la recherche médicale surtout quand
il s'agit d'expérimenter un médicament, sans pour autant, se soucier des
conséquences de ce genre de pr_tique sur un être vivant qui, tout comme
l'homme a le droit à la vie
D'abord, cela montre bien l'égoïsme que
manifeste 1 'homme à l'égard de l'animal. L'être humain ne veut en aucun
cas compromettre sa vie, ce croyant ainsi le roi de la création
Beaucoup
de gens sont heurtés par l'idée d'une expérimentation sur l'homme. On
peut même dire que quel que soit le soin que l'on apporte à la mise au
point d'un nouveau médicament et à son expérimentation sur l'animal, on
ne peut, toutefois, supprimer la marge d'incertitude quant aux effets
qu'il produira sur un organisme humain
Il est vrai que les recherches
médicales ont fait des miracles au profit de la race humaine. Or, rien
ne prouve que l'homme et l'animal réagissent de la même manière à
certaines substances. L'extrapolation de l'animal à l'homme est souvent
hasardeuse, même si elle se révèle justifiée dans certains cas
D'ailleurs,
les limites de l'expérimentation sur l'animal tiennent à ce qu'un
certain nombre de symptômes n'apparaissent jamais chez les animaux. D'où
une marge d'incertitude qui doit être prise en considération
En
outre, une expérimentation abusive sur certaines espèces animales
pourrait contribuer, malheureusement à leur extinction. Laquelle
extinction serait une aberration au moment où l'on fait appel, un peu
partout dans le moment à la protection des alllmaux
Espérant que
l'homme scientifique prenda conscience du préjudice qu'il pourrait
causer à la faune, sans écarter l'idée que l'expérimentation estun
processus indispensable, à l'évolution de la recherche médicale dont
l'objectif primordial est le bien être de l'espèce humaine